Mon premier trio 100% féminin (suite et fin)

 

Marie, jolie étudiante libertine, nous raconte la suite de son aventure avec un couple d’amies des plus coquines

(Si vous avez loupé la première partie, ça se passe par là : Mon premier trio 100% féminin)

Je ne m’étais toujours pas remise de mes émotions, je gisais nue sur le lit, une sourire béat bêtement collé sur les lèvres, lorsque je pris conscience que Prune et Anna poursuivaient les festivités juste à côté de moi. Il faut dire qu’avant mon petit feu d’artifice perso, j’avais eu le temps de mettre le feu aux poudres de la jolie Prune. Et à en juger par l’ardeur de celle-ci à embrasser sa compagne, elle était en feu ! Je profitais de cet instant de répit pour observer le charmant spectacle de leur intimité.

Prune était à califourchon sur Anna, dont elle maintenait les poignets.

De sa langue, elle lui titillait le cou dans une chatouille qui paraissait insupportable et la belle blonde se débattait sous elle, en riant. Elles étaient superbes à lutter comme ça, leurs deux corps nus s’entremêlant, se narguant, se rejoignant enfin. Puis leurs bassins se trouvèrent, leurs jambes se tressèrent et rapidement leurs sexes vinrent se frotter l’un contre l’autre. De temps en temps, Prune s’interrompait pour mordiller les tétons d’Anna. Puis elles recommençaient à onduler à deux. Enfin, Anna attrapa un petit coffret que je n’avais pas encore remarqué et en sortit un double dildo. Avec un sourire complice, elle s’approcha de sa partenaire qu’elle plaqua sur le dos avant de lui écarter vigoureusement les cuisses. Puis elle commença à faire courir l’objet sur le corps frémissant de sa victime. Cette dernière, d’un regard faussement implorant, se tourna vers moi et m’invita à entrer de nouveau dans la danse. Ce qui tombait plutôt bien car ce petit spectacle m’avait remise en appétit !

Anna me proposa le Dildo. « Tu veux lui mettre ? » me demanda-t-elle dans un sourire.

Je lui pris l’objet, un peu maladroitement, et commençai à le balader entre les cuisses de Prune. Je ne savais pas trop comment procéder, alors je fis le plus simplement du monde : je le portai à la bouche pour le lubrifier comme je l’aurai fait avec une queue puis je mimai une fellation torride qui fit mourir de rire les deux filles. Enfin, je le fis glisser sur les lèvres humides de Prune qui tremblait d’excitation. Puis je l’enfonçais délicatement en elle. Je la sentais fondre sous mes doigts. Anna posa sa main sur la mienne et lui imprima un lent mouvement de va-et-vient. La réaction de Prune fut immédiate, elle commença à vibrer et gémir. « Tu vois, comme ça… » me dit-elle. Je poursuivis le mouvement mais me sentais maladroite, je la laisser donc me guider. « Maintenant, si tu veux que ce soit vraiment dément pour elle, il faut accompagner avec la langue » me confia-t-elle avec un clin d’œil. J’obéis tandis qu’elle-même venait s’empaler de l’autre côté du Gode.

J’étais à quatre pattes au-dessus de leurs deux corps…

…Et pouvais donc donner du plaisir, tantôt à l’une, tantôt à l’autre, au rythme de leurs râles et de leurs cris rauques. C’était terriblement excitant de les entendre gémir ainsi, de partager ce moment à la fois doux et bestial avec elles. Puis Prune m’attrapa par les hanches, comme je l’avais fait plus tôt avec elle, et elle enfonça ses doigts et sa langue en moi. Je poussai moi aussi un petit cri de plaisir surpris: « Ho ! Ahhh ! »  Elle me demanda de venir me placer au-dessus de sa tête, sexe au-dessus de sa bouche. Je n’étais pas sûre de me sentir très à l’aise dans cette position, mais elle insista tant et si bien, et Anna avec elle, que je fini par m’exécuter. Elle reprit alors ses assauts, de ses doigts et de sa langue, plongeant au plus profond de moi tout en continuant de faire l’amour à sa femme. Leurs cris d’extase se mêlaient aux miens, si bien que je ne savais plus lesquels m’appartenaient ! Ma tête tournait, mes sensations étaient décuplées et j’avais l’impression que j’allais littéralement prendre feu à tout instant. Puis dans un état de semi-transe, je vins dans la bouche de ma sublime amie qui me suivit de près. Il nous fallut un petit moment pour nous ressaisir. Puis lorsque ce fût chose faite, nous découvrîmes la mine mi-déconfite, mi-taquine d’Anna : « Alors comme ça on jouit sans moi, bande de vilaines ! Puisque c’est comme ça, vous allez devoir vous occuper de moi à deux !!!« 

Oh boy ! Elles étaient insatiables ! La nuit ne faisait que commencer !

Photo : pexels

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