Mon boss était libertin (3) – La cabine d’essayage

 

Dans l’épisode précédent, la jolie Pauline obtient enfin satisfaction et passe une folle nuit avec le troublant Yohann, son boss. Mais leur week-end ne fait que commencer.

Le lendemain matin, après une nuit des plus mouvementées…

… Nous traînions au lit. Yohann avait fait des crêpes et nous avions petit-déjeuné au lit. Il y avait de la confiture et du Nutella partout sur les draps car bien évidemment nous n’avions pas pu nous empêcher de jouer avec la nourriture

– Je ne t’aurai pas pensé aussi coquine, commence Yohann

– Comment ça ?

– Eh bien, quand tu as accepté de passer le week-end chez moi, je me suis dit qu’on verrait bien ce qui se passerait. J’avais bien senti ton « potentiel » mais je n’avais pas réalisé que tu étais aussi gourmande !

– Merci pour le compliment !

– Du coup, j’aimerais aller encore plus loin avec toi… Tu me fais confiance ?

– Oui, je pense. À quoi tu penses ?

– C’est une surprise. Dis-moi seulement s’il y a des choses que tu ne veux vraiment pas faire.

Je réfléchis un instant…

– Je ne suis pas fana de sodomie, mais bien préparée, à la limite, ça peut se tenter. Et je n’aime pas qu’on me fasse mal de manière générale, donc t’oublie les plans SM qui piquent trop. Sinon, à part ça, je suis open…

– Même si cela implique plus de deux participants … ?

Je lui tendis un large sourire en guise de réponse.

Le soir même, nous avions rendez-vous dans un restaurant très chic de Toulouse avec un autre couple.

Comme je n’avais rien à me mettre, nous partîmes pour une séance shopping particulièrement coquine. Je n’avais jamais essayé autant de jupes courtes, de robes moulantes et de tops décolletés. Puis on fit un arrêt dans une boutique de lingerie. Yohann choisi pour moi une guêpière en satin noir avec porte-jarretières ainsi que des bas résilles. Je dois admettre qu’une fois montée sur mes talons hauts, l’effet était plutôt pas mal. Alors que j’admirai mes formes dans le miroir, le rideau bougea derrière moi et mon amant se glissa dans la cabine d’essayage.

Un doigt sur la bouche, m’intimant de garder le silence, il passa son autre main entre mes cuisses. Ma réponse fut instantanée : le satin devint toute humide à son contact. Il sourit et passa un doigt sous le tissu. Je le sentis frotter mon clito qui était déjà gonflé de désir. Puis m’agrippant les fesses fermement de l’autre main, il me plaqua soudain contre lui et enfonça son doigt en moi. Je me retins de gémir en enfonçant ma tête contre son torse. Je percevais la raideur de son sexe à travers la toile de son pantalon. La vendeuse pouvait revenir d’une minute à l’autre, mais j’avais trop envie de lui. Sans trop réfléchir, je commençai à défaire le bouton de son pantalon. Il eut un mouvement de surprise mais n’arrêta pas mon geste. Je saisis son membre, tellement dur, tellement gros entre mes doigts et tout en me hissant sur la pointe des pieds, le dirigeai contre moi. Sans aucun effort apparent il me souleva et me plaqua contre lui. J’écartai le mince morceau de tissu à présent complètement trempe et m’empalai enfin sur lui !

Malgré l’urgence de la situation, il prit tout son temps…

… Et me fit jouir par de lents, très lents mouvements de bassins. Il se retira, le membre encore raide. Je le regardai droit dans les yeux et un sourire aux lèvres, l’avalai tout entier. Il fondit instantanément dans ma bouche et je n’en laissai pas une goutte. Avant de quitter la cabine, il me susurra à l’oreille : « Tu es vraiment incroyable ! »

Quelques heures plus tard, nous arrivâmes au restaurant et rencontrâmes Jérôme et Julie, deux trentenaires tout à fait séduisants. La nuit s’annonçait délicieuse…

Cette histoire vous a plu ? Ne manquez pas la suite des aventures coquines de Pauline !

Photo : pexels

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